Le 26 mars 1998, son arrestation au Monoprix rayon parapharmacie 53, bld de Clichy (9e)
Après de nombreux errements et une enquête qui n’a cessé de piétiner depuis une première agression en 1976, en mars 1998, un nom est enfin mis sur l’ADN retrouvé sur les scènes de crime : celui de Guy Georges Rampillon, dit Guy Georges. Après une traque à l’échelle nationale, il sera arrêté sans résistance quelques jours plus tard près du métro Blanche. Accusé de sept meurtres, il sera condamné en avril 2001 à la perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans. Cette affaire aboutira à l’adoption du principe du fichage ADN en France.